Santé au travail, sécurité, stress… les jeunes 40% plus touchés

[vc_row full_width= »stretch_row_content_no_spaces » el_class= »box-backlink »][vc_column][vc_btn title= »RETOUR » link= »url:https%3A%2F%2Fpeppermintagency.fr%2Fblog%2F||| »][/vc_column][/vc_row][vc_row el_class= »home-box-2 dash »][vc_column][vc_column_text]Santé au travail, sécurité, stress…

les jeunes 40% plus touchés[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row el_class= »home-box-3″][vc_column][vc_column_text el_class= »right »]La journée mondiale sur la santé au travail à été créée pour sensibiliser tous les acteurs (pouvoirs publics et entreprises) sur cette problématique. Globalement le nombre d’accidents du travail en France se stabilise. Cependant une population est plus en clin à avoir des accidents. Il existe 541 millions de jeunes travailleurs, entre 15 et 24 ans, dans le monde dont 37 millions effectuant des travaux dangereux. Ils représentent 15 % de la population active mondiale.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row el_class= »box-detailimage »][vc_column][vc_single_image image= »1647″ img_size= »large » alignment= »center »][vc_column_text]

Les métiers à risques représentent un danger plus important pour les jeunes

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Les jeunes bien plus touchés par les accidents du travail…

C’est une réalité du monde du travail, les jeunes travailleurs de 15 à 24 ans ont un taux d’accidents du travail 40% plus élevé que les travailleurs de plus de 25 ans. Et ce n’est pas parce que les jeunes aiment prendre des risques ou sont inconscient, non non… D’après une étude de l’INRS, en France, c’est un risque 2,5 fois plus élevé pour les jeunes travailleurs. Plusieurs raisons existent à cela et la « Journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail » permet de mettre en lumière ce phénomène afin de responsabiliser autant les entreprises que les pouvoirs publics.

Les causes

Il existe plusieurs causes :

  • le développement physique et psychologique qui n’est pas à son stade final
  • le manque d’expérience et de formation est un des principaux facteurs
  • le manque de pouvoir de négociation qui peut les amener à accepter des tâches ou travaux dans de mauvaises conditions

Pour remédier à cela les pouvoirs publics ont mis en place un programme de formation sur la santé au travail dans les filières professionnelles de l’enseignement et voudraient l’étendre à toutes les formations initiales. Il a été observé, sur un panel de jeunes étudiants ayant reçu une formation à la sécurité et la santé au travail, 2 fois moins d’accidents sur une année.[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″][vc_column_text el_class= »right »]

Le stress au travail

Évidemment dans les domaines du marketing et de la communication, les accidents liés à la pratique d’une activité dangereuse ne sont pas « monnaie courante ». Cependant les risques liés à la santé sont bien plus présent. Le stress en fait partie et est un des facteurs le plus corrélé à nos méthodes de travail et plus généralement notre mode de vie. C’est dire tous les chiffres ou études qui sortent chaque année sur le sujet. Ce problème est bien souvent lié à :

  • un déséquilibre entre la charge de travail demandée à un individu et les moyens dont ils disposent pour répondre à celle-ci
  • les relations difficiles entre managers, responsables, collègues…
  • un manque d’autonomie
  • des objectifs mal définis

Ce stress, lorsqu’ils s’installent dans la durée aura forcément des conséquences négatives sur la santé du salarié et aussi sur sa capacité de concentration, son efficacité au travail. Bien souvent le stress n’est pas pris en compte par la hiérarchie qui remet uniquement en cause l’aptitude qu’a le salarié à s’adapter à son travail ou son efficacité et pas forcément ses conditions de travail. Cet état de fait empire donc le phénomène.

24% des actifs français…

D’après une étude du cabinet Stimulus, c’est la part des français touchés par le stress au travail, un chiffre assez alarmant. Ce sont d’ailleurs les femmes qui sont les plus touchées (28%), contre 20% pour les hommes. Chiffre toutefois à relativiser car 51% déclarent ne pas ressentir de stress.
Une tendance à ne pas négliger si l’on veut réduire durablement le nombre de burn-out et les dépressions qui sont des conséquences liés directement à ce facteur.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]

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